PREOCUPATIONS ACTUELLES DES MEMBRES DE L’ACD
Au-delà des envois de fonds pour aider les familles restées au pays, La Diaspora camerounaise contribue fréquemment, au travers des Associations et autres ONG, au développement de leurs villes, de leurs villages ou de leur région d’origine. On assiste ainsi à la réalisation de projet d’envergure multidimensionnelle (construction et équipement d’écoles, de dispensaires et de foyers sociaux éducatifs, projets d’électrification ou d’approvisionnement en eau etc…).
Globalement les transferts de fonds représentent pour le Cameroun, des flux financiers non négligeables.De l’enquête par exemple menée au sein des nos membres en 2016, sur un échantillon de 3000 membres interrogés, il ressort clairement que ces personnes ont transféré chacune vers le Cameroun une somme moyenne globale de 8000 dollars vers le Cameroun ; ce qui représente un montant en dollars de 24 millions, soit plus de 14 milliards de FCFA.
D’après un sondage effectué en 2017 dans la communauté des Camerounais installés aux USA depuis plus de 15 ans et qui ne sont pas revenus entre temps au Cameroun, 95 % des personnes interrogées pensent qu’il y a beaucoup d’opportunité d’affaires à développer au Cameroun. 100 % citent la pression fiscale et le raquette des agents des impôts, la corruption (le Cameroun des petits copains, disent-ils !), les tracasseries policières, les combines des magistrats véreux, les lourdeurs de l’administration et le non-soutien des banques locales.
Sur le plan politique, 75 % disent que la démocratie s’y installe, mais lentement et 80 % avouent faire confiance au chef de l’Etat. Malgré l’éloignement, 9 personnes sur 10 recherchent des nouvelles du pays et le premier médium utilisé est souvent Internet, en deuxième rang, les relations restées au pays. Elles réclament également la reconnaissance de la double nationalité.
Etes-vous près à venir au Cameroun rencontrer les décideurs publics et privés sur les opportunités d’affaires ? 7,5 personnes sur 10 répondent favorablement à condition qu’elles aient des interlocuteurs capables de les convaincre des réels changements. Si vous venez au Cameroun investir, quel niveau minimum d’investissements pouvez-vous réaliser ? Sur 100 personnes interrogées, 68 % répondent près de 30 millions FCFA, 22 % avouent investir jusqu’à 100 millions et 10 % personnes plus de 100 millions.
Comment pensez-vous résoudre le problème du Nord-ouest et du Sud-ouest ? 100 % répondent que le Dialogue est la seule solution pour la paix. Ce dialogue devrait se faire avec les concernés, c’est-à-dire avec les sécessionnistes. A défaut, un référendum sera une des solutions. 95 % des personnes interrogées estiment que le Président de la République est très mal entouré et que le casting sur le choix de ses collaborateurs devra aussi se tourner vers les Camerounais de la Diaspora sur la base de leurs compétences et expertise.
Globalement les transferts de fonds représentent pour le Cameroun, des flux financiers non négligeables.De l’enquête par exemple menée au sein des nos membres en 2016, sur un échantillon de 3000 membres interrogés, il ressort clairement que ces personnes ont transféré chacune vers le Cameroun une somme moyenne globale de 8000 dollars vers le Cameroun ; ce qui représente un montant en dollars de 24 millions, soit plus de 14 milliards de FCFA.
D’après un sondage effectué en 2017 dans la communauté des Camerounais installés aux USA depuis plus de 15 ans et qui ne sont pas revenus entre temps au Cameroun, 95 % des personnes interrogées pensent qu’il y a beaucoup d’opportunité d’affaires à développer au Cameroun. 100 % citent la pression fiscale et le raquette des agents des impôts, la corruption (le Cameroun des petits copains, disent-ils !), les tracasseries policières, les combines des magistrats véreux, les lourdeurs de l’administration et le non-soutien des banques locales.
Sur le plan politique, 75 % disent que la démocratie s’y installe, mais lentement et 80 % avouent faire confiance au chef de l’Etat. Malgré l’éloignement, 9 personnes sur 10 recherchent des nouvelles du pays et le premier médium utilisé est souvent Internet, en deuxième rang, les relations restées au pays. Elles réclament également la reconnaissance de la double nationalité.
Etes-vous près à venir au Cameroun rencontrer les décideurs publics et privés sur les opportunités d’affaires ? 7,5 personnes sur 10 répondent favorablement à condition qu’elles aient des interlocuteurs capables de les convaincre des réels changements. Si vous venez au Cameroun investir, quel niveau minimum d’investissements pouvez-vous réaliser ? Sur 100 personnes interrogées, 68 % répondent près de 30 millions FCFA, 22 % avouent investir jusqu’à 100 millions et 10 % personnes plus de 100 millions.
Comment pensez-vous résoudre le problème du Nord-ouest et du Sud-ouest ? 100 % répondent que le Dialogue est la seule solution pour la paix. Ce dialogue devrait se faire avec les concernés, c’est-à-dire avec les sécessionnistes. A défaut, un référendum sera une des solutions. 95 % des personnes interrogées estiment que le Président de la République est très mal entouré et que le casting sur le choix de ses collaborateurs devra aussi se tourner vers les Camerounais de la Diaspora sur la base de leurs compétences et expertise.